Posté par tututpouet  
(IP enregistrée), le 31/07/06 19:31:39
est venu de plusieurs facteurs:
-facteur psychologique de voir une huile neuve noire, dans l'inconscient huile noire = usée.
-problème de taille des particules qui faisaient des bouchons. Totalement résolu.
-huiles céramiques: il y a 36 sortes de céramiques et des concentrations très variables. Peu d'huiles en utilisent, et certaines d'entre elles sont dépassées à la fois du point de vue des normes API et ACEA, mais aussi des normes constructeurs (cas le l'IGOL symbol ceramic selon le site IGOL [http://www.igol-fr.com/huile-automobile.htm] ). La céramique est un argument marketing efficace...
-Mensonges continus qu'on lit partout sur le web comme quoi le graphite bouche les canalisations. Soit j'utilise de la Black Gold, soit j'additive mon huile avec du SX (graphite + MOS2), j'attends toujours de boucher un filtre, pas encore réussi 
-Prix des huiles graphitées, la plupart des gens veulent y mettre le moins cher possible.
-technologie connue depuis très longtemps, préférence pour la nouveauté dont on pense qu'elle fera mieux.
Scientifiquement:
-apports du graphite prouvés et archi prouvés par de nombreuses universités, par la SAE...
->réduction des frottements
->réduction de l'usure avec mesure d'usure sur segments, pistons, AAC ;ors d'essai par la SAE
->moins de dépôts (boues noires etc)
[http://www.europhysicsnews.com/full/31/article2/article2.html]
[http://www.physics.leidenuniv.nl/sections/cm/ip/group/PDF/Phys.rev.lett/2004/92(2004)12601.pdf]
[http://www.sae.org/servlets/productDetail?PROD_TYP=PAPER&PROD_CD=982235] (article payant)
Les 2 premiers articles scientifiques, sans le moindre parti prit commercial datent de 2004 et 2005.
Je roule depuis 3ans 1/2 avec un moteur turbo essence assez poussé d'origine (100ch/L en 8s), pas le moindre commencement de début de problème.
Par rapport au turbo, le graphite permet:
-de mieux lubrifier les axes
-de réduire les frottements donc la longévité
-de protéger vis à vis de la chaleur puisque le graphite tiend plusieurs centaines de °C.
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Le désintérêt
